Toutes les bonnes choses ont une fin

Depuis le 25 août déjà, on entend l’écho des gros sabots de la rentrée arriver, trop pressée de piétiner la fin de notre pause estivale, celle-là. Août n’a donc pas eu le temps de tirer sa révérence qu’on doit déjà entrer dans un nouveau cycle ?


Et quel cycle ! Que vous retourniez à l’école, au boulot ou à d’autres vacations, il y a cette même injonction de rentrer dans un moule pour refaire tourner une machine dont finalement on ne contrôle pas les principaux rouages. Pire. S’y remettre, c’est avoir la sensation de devoir huiler un engin rouillé. 

Que faire ? Décréter un congé à vie ? Prendre un congé de sa vie ? Spoiler altert: c’est impossible. Même si votre compte en banque vous permettait un train de vie à la Kardashian, Shakespeare a prophétisé il y a bien longtemps que de toute façon, vu notre vaine condition d’humain, si nous disposions de vacances toute l’année, nous en serions aussi épuisé.e.s que de travailler. Il faut dire que c’est vrai. C’est d’ailleurs dur à croire mais… même les Kardashian ne sont pas en vacances toute l’année, elles travaillent. Simplement pas comme nous.

Et si face à toutes ces réflexions, on s’évadait ? Il ne s’agit pas de fuir ses responsabilités, non. Mais de se responsabiliser sur son état de conscience. Le but en réalité de s’affranchir de votre dark side. Vous savez : cette petite voix qui ne propulse rien d’autre qu’un brouillard mental.

Hors de question de stresser, de vouloir tout contrôler, de criser à la moindre contrariété. Rien ne doit vous coûter notre santé mentale. La seule injonction finalement, c’est de se prioriser. 

Ce cycle, c’est alors l’occasion de mettre dans une jolie boîte à souvenir ceux de l’été pour en créer de nouveaux dès à présent. Oui, tout ça pour dire que la recette n’est pas magique. Elle est juste en vous.

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